Cette sculpture, inspirée de la forme organique du corail cerveau, est entièrement façonnée à la main en papier découpé. Elle est parsemée de billes de plastique, aussi appelées “larmes de sirènes”, utilisées dans la fabrication d’objets plastiques. Dérivant des conteneurs perdus en mer, elles envahissent les plages, témoins silencieux d’une pollution invisible. Ces fragments ont été collectés sur le littoral.